Revenir en arrièreL’accueil en Maison Partagée : un soutien aussi pour les proches aidants
Aidants familiaux

L’accueil en Maison Partagée : un soutien aussi pour les proches aidants

Accompagner un proche touché par la maladie d’Alzheimer est une expérience qui peut être souvent éprouvante et demande beaucoup aux aidants. Quand la maladie progresse, il devient difficile, voire impossible, de continuer à accompagner seul son parent, son conjoint ou un proche de longue date. 

C’est là que les maisons partagées Alenvi prennent tout leur sens - pour les personnes âgées, mais aussi pour leurs proches aidants. De nombreuses personnes voient en effet leurs troubles cognitifs s’aggraver lorsqu’elles restent seules chez elles mais ont encore une autonomie qui peut se préserver dans un cadre qui favorise les interactions sociales et permet de rester en prise avec les gestes de la vie quotidienne (cuisine, jardinage etc..). 

I. Qui sont les aidants ? Portrait de ces engagés du quotidien

II. Quels sont leurs besoins ? 

III. Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

IV. La maison partagée : une communauté qui soutient aussi les familles élargies 

Lors de notre étude d’impact, parue en janvier 2025, nous avons tâché de mesurer les effets bénéfiques de ces nouvelles formes d’habitat sur les proches aidants et leurs familles. 

I. Qui sont les aidants ? portrait de ces engagés du quotidien 

- Conjoint, enfant, parent, frères et soeurs

- Ne vit pas avec la personne aidée

- N'est plus en capacité de prendre en charge son proche seul au quotidien

- Opacité des solutions d'aide ou choix limité une fois la maladie avancée (EHPAD)

- Méconnaissance des dispositifs d'aide

- Fort lien émotionnel avec la personne aidée en fonction de ce qui se passe pour elle

- Gère le quotidien médical de son proche et peut être mobilisé pour les questions financières, organisationnelles, émotionnelles de son proche

- Fait le lien avec les autres proches de la personne aidée

- Peut être impacté financièrement par l'accompagnement de son proche

II. Quels sont leurs besoins ? 

- Re-prendre soin de soi

- Avoir un relai adapté et fiable à l'accompagnement de leur proche de manière à ne plus être épuisé

- Retrouver une liberté dans son quotidien ainsi que des temps de répit

- Rompre son isolement social et sa solitude face à la maladie

III. Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

- Amélioration de la santé physique et psychique

- Amélioration de sa vie relationnelle

- Changement de regard sur son proche et sa maladie

- Changement de regard sur le secteur de l'accompagnement

L'accueil en maison partagée allège la charge des aidants principaux, leur permettant de retrouver un équilibre personnel et de maintenir une relation plus apaisée avec leur proche.

« J’ai pu redevenir la fille de ma mère, et non plus seulement son aidante. » Sophie, proche aidante

86 % des aidants interrogés déclarent ressentir une diminution significative de leur charge mentale, et 72 % estiment que leur qualité de vie s'est améliorée depuis l'entrée de leur proche en maison partagée. L'accompagnement offert permet ainsi de réduire le stress lié à la gestion quotidienne des soins et de favoriser un meilleur équilibre entre vie personnelle et engagement auprès du proche aidé.

Les maisons permettent aussi aux aidants de changer de regard sur la maladie en la vivant autrement, grâce au partage avec les autres familles notamment. 

IV. La maison partagée : une communauté qui soutient aussi les familles élargies 

Les maisons partagées ne bénéficient pas seulement à l’aidant principal. Toute la famille peut y retrouver un lien plus vivant avec son proche, y compris les petits-enfants, neveux, nièces, ou amis de longue date.

Quels sont les besoins des familles : 

- Créer un lien avec son proche et le redécouvrir

- Comprendre la maladie

- Partager des souvenirs 

Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

- Vie familiale et relationnelle améliorée

- Changement de regard sur soi-même

- Changement de regard sur son proche et sa maladie

Les visites deviennent des moments de plaisir, et non plus des instants marqués par l’angoisse ou l’impuissance. Le regard sur le proche, et sur soi-même, évolue profondément.

Si vous sentez le besoin d’être accompagnés en tant qu’aidant, sachez qu’il existe aussi des structures de répit et d’accompagnement :

- Plateformes de répit pour les aidants

- CCAS, CLIC, MAIA, Maisons de l'autonomie

- Accueils de jour, assistants sociaux…

N’hésitez pas à vous rapprocher de ces ressources, qui sont là pour vous accompagner, vous aussi.

Chez Alenvi, nous croyons que prendre soin des personnes âgées, c’est aussi prendre soin de ceux qui les aiment.
Les maisons partagées ne sont pas seulement un lieu de vie pour les habitants. Ce sont des espaces de répit et de lien pour toutes les familles concernées.

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L’accueil en Maison Partagée : un soutien aussi pour les proches aidants

4/7/25

Accompagner un proche touché par la maladie d’Alzheimer est une expérience qui peut être souvent éprouvante et demande beaucoup aux aidants. Quand la maladie progresse, il devient difficile, voire impossible, de continuer à accompagner seul son parent, son conjoint ou un proche de longue date. 

C’est là que les maisons partagées Alenvi prennent tout leur sens - pour les personnes âgées, mais aussi pour leurs proches aidants. De nombreuses personnes voient en effet leurs troubles cognitifs s’aggraver lorsqu’elles restent seules chez elles mais ont encore une autonomie qui peut se préserver dans un cadre qui favorise les interactions sociales et permet de rester en prise avec les gestes de la vie quotidienne (cuisine, jardinage etc..). 

I. Qui sont les aidants ? Portrait de ces engagés du quotidien

II. Quels sont leurs besoins ? 

III. Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

IV. La maison partagée : une communauté qui soutient aussi les familles élargies 

Lors de notre étude d’impact, parue en janvier 2025, nous avons tâché de mesurer les effets bénéfiques de ces nouvelles formes d’habitat sur les proches aidants et leurs familles. 

I. Qui sont les aidants ? portrait de ces engagés du quotidien 

- Conjoint, enfant, parent, frères et soeurs

- Ne vit pas avec la personne aidée

- N'est plus en capacité de prendre en charge son proche seul au quotidien

- Opacité des solutions d'aide ou choix limité une fois la maladie avancée (EHPAD)

- Méconnaissance des dispositifs d'aide

- Fort lien émotionnel avec la personne aidée en fonction de ce qui se passe pour elle

- Gère le quotidien médical de son proche et peut être mobilisé pour les questions financières, organisationnelles, émotionnelles de son proche

- Fait le lien avec les autres proches de la personne aidée

- Peut être impacté financièrement par l'accompagnement de son proche

II. Quels sont leurs besoins ? 

- Re-prendre soin de soi

- Avoir un relai adapté et fiable à l'accompagnement de leur proche de manière à ne plus être épuisé

- Retrouver une liberté dans son quotidien ainsi que des temps de répit

- Rompre son isolement social et sa solitude face à la maladie

III. Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

- Amélioration de la santé physique et psychique

- Amélioration de sa vie relationnelle

- Changement de regard sur son proche et sa maladie

- Changement de regard sur le secteur de l'accompagnement

L'accueil en maison partagée allège la charge des aidants principaux, leur permettant de retrouver un équilibre personnel et de maintenir une relation plus apaisée avec leur proche.

« J’ai pu redevenir la fille de ma mère, et non plus seulement son aidante. » Sophie, proche aidante

86 % des aidants interrogés déclarent ressentir une diminution significative de leur charge mentale, et 72 % estiment que leur qualité de vie s'est améliorée depuis l'entrée de leur proche en maison partagée. L'accompagnement offert permet ainsi de réduire le stress lié à la gestion quotidienne des soins et de favoriser un meilleur équilibre entre vie personnelle et engagement auprès du proche aidé.

Les maisons permettent aussi aux aidants de changer de regard sur la maladie en la vivant autrement, grâce au partage avec les autres familles notamment. 

IV. La maison partagée : une communauté qui soutient aussi les familles élargies 

Les maisons partagées ne bénéficient pas seulement à l’aidant principal. Toute la famille peut y retrouver un lien plus vivant avec son proche, y compris les petits-enfants, neveux, nièces, ou amis de longue date.

Quels sont les besoins des familles : 

- Créer un lien avec son proche et le redécouvrir

- Comprendre la maladie

- Partager des souvenirs 

Ce que nous pensons qu’il leur arrive via les maisons partagées d’Alenvi

- Vie familiale et relationnelle améliorée

- Changement de regard sur soi-même

- Changement de regard sur son proche et sa maladie

Les visites deviennent des moments de plaisir, et non plus des instants marqués par l’angoisse ou l’impuissance. Le regard sur le proche, et sur soi-même, évolue profondément.

Si vous sentez le besoin d’être accompagnés en tant qu’aidant, sachez qu’il existe aussi des structures de répit et d’accompagnement :

- Plateformes de répit pour les aidants

- CCAS, CLIC, MAIA, Maisons de l'autonomie

- Accueils de jour, assistants sociaux…

N’hésitez pas à vous rapprocher de ces ressources, qui sont là pour vous accompagner, vous aussi.

Chez Alenvi, nous croyons que prendre soin des personnes âgées, c’est aussi prendre soin de ceux qui les aiment.
Les maisons partagées ne sont pas seulement un lieu de vie pour les habitants. Ce sont des espaces de répit et de lien pour toutes les familles concernées.

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