Un aidant familial est une personne non professionnelle (souvent un conjoint, un enfant ou un proche) qui aide régulièrement un proche dépendant : courses, toilette, repas, gestion administrative, etc. Ce rôle s’ajoute souvent à une vie déjà bien remplie : emploi, enfants, obligations personnelles...
Conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle devient complexe lorsque l’on devient aidant. Fatigue, stress, baisse de performance au travail ou sentiment de culpabilité sont fréquents.
Ces symptômes sont des signes qui montrent que les aidants familiaux ne peuvent plus être seuls dans cet accompagnement. En effet, pour accompagner au mieux et de manière efficace le proche atteint de la maladie d’Alzheimer il existe des solutions de répits.
Voici un article qui explique comment prévenir l’épuisement des aidants.
Un aidant familial a tout intérêt à informer son employeur ou le service RH de sa situation. Cela permet d’ouvrir un dialogue sur les aménagements possibles, comme le télétravail pour faciliter la vie des aidants familiaux. Il existe aussi le congé de proche aidant, permettant de suspendre temporairement son activité.
L’objectif est d’anticiper les éventuelles absences ou contraintes et de préserver une bonne organisation du travail. L’entreprise peut participer à la conciliation entre vie professionnelle / vie d’aidant.
Les aidants peuvent bénéficier de dispositifs comme :
Faire appel à une structure d’aide à domicile permet de déléguer certaines tâches : ménage, toilette, repas, surveillance... Cela soulage l’aidant, notamment pendant les heures de travail. Ces prestations d’aide à domicile sont à la carte : il est possible de faire appel à une auxiliaire de vie simplement quelques heures par semaine, si le proche est relativement autonome par exemple;
Pour en savoir plus, écrivez-nous
Être aidant ne doit pas signifier s’épuiser. Prendre soin de soi est indispensable pour tenir sur la durée. Groupes de parole, soutien psychologique, pauses régulières ou séjours de répit sont des solutions à envisager sans culpabilité.
Devenir aidant familial tout en travaillant est un véritable défi. Heureusement, des dispositifs existent pour accompagner cette double casquette, alléger la charge mentale et garantir une aide de qualité à domicile, même en cas de maladie comme Alzheimer.
Nous avons par exemple :
Un aidant familial est une personne non professionnelle (souvent un conjoint, un enfant ou un proche) qui aide régulièrement un proche dépendant : courses, toilette, repas, gestion administrative, etc. Ce rôle s’ajoute souvent à une vie déjà bien remplie : emploi, enfants, obligations personnelles...
Conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle devient complexe lorsque l’on devient aidant. Fatigue, stress, baisse de performance au travail ou sentiment de culpabilité sont fréquents.
Ces symptômes sont des signes qui montrent que les aidants familiaux ne peuvent plus être seuls dans cet accompagnement. En effet, pour accompagner au mieux et de manière efficace le proche atteint de la maladie d’Alzheimer il existe des solutions de répits.
Voici un article qui explique comment prévenir l’épuisement des aidants.
Un aidant familial a tout intérêt à informer son employeur ou le service RH de sa situation. Cela permet d’ouvrir un dialogue sur les aménagements possibles, comme le télétravail pour faciliter la vie des aidants familiaux. Il existe aussi le congé de proche aidant, permettant de suspendre temporairement son activité.
L’objectif est d’anticiper les éventuelles absences ou contraintes et de préserver une bonne organisation du travail. L’entreprise peut participer à la conciliation entre vie professionnelle / vie d’aidant.
Les aidants peuvent bénéficier de dispositifs comme :
Faire appel à une structure d’aide à domicile permet de déléguer certaines tâches : ménage, toilette, repas, surveillance... Cela soulage l’aidant, notamment pendant les heures de travail. Ces prestations d’aide à domicile sont à la carte : il est possible de faire appel à une auxiliaire de vie simplement quelques heures par semaine, si le proche est relativement autonome par exemple;
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Être aidant ne doit pas signifier s’épuiser. Prendre soin de soi est indispensable pour tenir sur la durée. Groupes de parole, soutien psychologique, pauses régulières ou séjours de répit sont des solutions à envisager sans culpabilité.
Devenir aidant familial tout en travaillant est un véritable défi. Heureusement, des dispositifs existent pour accompagner cette double casquette, alléger la charge mentale et garantir une aide de qualité à domicile, même en cas de maladie comme Alzheimer.
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