Être acteur, c’est avant tout participer à la vie de la maison. Cela passe par de petits gestes simples mais qui redonnent de l’autonomie et de la dignité aux personnes :
- Éplucher les légumes ensemble
- Mettre la table
- Choisir le programme d’activités du jour
- Accueillir les visiteurs
- Participer aux courses ou au ménage
- Prendre des décisions collégiales sur la vie de la maison
Chaque action, si minime soit-elle, contribue à renforcer l’estime de soi et à maintenir des repères essentiels dans le quotidien. Loin d’un fonctionnement médicalisé, la maison vit au rythme de ses habitants, et non l’inverse.
Pour que chacun se sente vraiment chez soi, les professionnels qui accompagnent les colocataires - les auxiliaires d’envie - ne portent pas de blouses ni de signes distinctifs. Elles s’installent à la même table, partagent les repas avec les colocataires, échangent avec eux en toute simplicité. Ce choix est symbolique : il traduit une volonté de relation horizontale, fondée sur la confiance et la réciprocité.
L’accompagnement ne se fait pas “à la place de” mais “avec” : il respecte le rythme, les préférences, les humeurs de chacun. Et surtout, il laisse la place à l’autre pour agir.
La cuisine est un lieu central dans les maisons partagées Alenvi. C’est le cœur du quotidien, un espace de transmission, de discussion, de rires parfois. Ici, les repas ne sont pas livrés ou réchauffés à l’écart. Ils sont préparés avec les habitants, dans la mesure de leurs possibilités. Et c’est cette implication qui redonne du sens à ce moment si familier.
Cuisiner, c’est se rappeler, se reconnecter à des gestes, des souvenirs, des goûts. C’est aussi faire ensemble, et donc renforcer les liens humains qui font toute la richesse d’un lieu de vie partagé.
Dans les maisons partagées, les aidants familiaux ne sont plus les seuls à porter la charge du quotidien. Ils peuvent redevenir simplement un fils, une fille, un ami.
« J’ai pu redevenir la fille de ma mère, et non plus seulement son aidante. » Sophie, proche aidante
Ces liens se nourrissent de temps de qualité passé ensemble, sans urgence ni contrainte. On prend le temps d’un café, d’une balade, d’une discussion, loin de la logistique ou des soins à organiser. La relation change, et avec elle, le regard que l’on porte sur son proche.
Enfin, l’une des forces du modèle Alenvi, c’est de reconnaître ce que chacun peut encore faire, plutôt que de pointer ce qu’il ne peut plus faire. Même avec des troubles cognitifs avancés, une personne peut s’impliquer, faire des choix, créer du lien. L’enjeu n’est pas la performance, mais la participation.
Dans les maisons partagées, chacun est considéré comme une personne capable, digne, et utile au collectif. Et cela change tout : l’ambiance, la qualité de vie, le regard sur soi… et sur les autres.
Derrière ces habitats partagés, c’est une autre vision du grand âge qu’on veut promouvoir : la perte d’autonomie peut aussi rester du domaine du projet de vie, du lien, de la joie. Et ça va bien au-delà de juste fournir une prestation d’accompagnement de la perte d’autonomie.
Chez Alenvi, nous pensons qu’accompagner la vieillesse, c’est aussi soutenir l’autonomie sous toutes ses formes. Être acteur de sa vie, c’est une dignité fondamentale – que nous avons choisi de défendre, chaque jour, dans nos maisons partagées.
Être acteur, c’est avant tout participer à la vie de la maison. Cela passe par de petits gestes simples mais qui redonnent de l’autonomie et de la dignité aux personnes :
- Éplucher les légumes ensemble
- Mettre la table
- Choisir le programme d’activités du jour
- Accueillir les visiteurs
- Participer aux courses ou au ménage
- Prendre des décisions collégiales sur la vie de la maison
Chaque action, si minime soit-elle, contribue à renforcer l’estime de soi et à maintenir des repères essentiels dans le quotidien. Loin d’un fonctionnement médicalisé, la maison vit au rythme de ses habitants, et non l’inverse.
Pour que chacun se sente vraiment chez soi, les professionnels qui accompagnent les colocataires - les auxiliaires d’envie - ne portent pas de blouses ni de signes distinctifs. Elles s’installent à la même table, partagent les repas avec les colocataires, échangent avec eux en toute simplicité. Ce choix est symbolique : il traduit une volonté de relation horizontale, fondée sur la confiance et la réciprocité.
L’accompagnement ne se fait pas “à la place de” mais “avec” : il respecte le rythme, les préférences, les humeurs de chacun. Et surtout, il laisse la place à l’autre pour agir.
La cuisine est un lieu central dans les maisons partagées Alenvi. C’est le cœur du quotidien, un espace de transmission, de discussion, de rires parfois. Ici, les repas ne sont pas livrés ou réchauffés à l’écart. Ils sont préparés avec les habitants, dans la mesure de leurs possibilités. Et c’est cette implication qui redonne du sens à ce moment si familier.
Cuisiner, c’est se rappeler, se reconnecter à des gestes, des souvenirs, des goûts. C’est aussi faire ensemble, et donc renforcer les liens humains qui font toute la richesse d’un lieu de vie partagé.
Dans les maisons partagées, les aidants familiaux ne sont plus les seuls à porter la charge du quotidien. Ils peuvent redevenir simplement un fils, une fille, un ami.
« J’ai pu redevenir la fille de ma mère, et non plus seulement son aidante. » Sophie, proche aidante
Ces liens se nourrissent de temps de qualité passé ensemble, sans urgence ni contrainte. On prend le temps d’un café, d’une balade, d’une discussion, loin de la logistique ou des soins à organiser. La relation change, et avec elle, le regard que l’on porte sur son proche.
Enfin, l’une des forces du modèle Alenvi, c’est de reconnaître ce que chacun peut encore faire, plutôt que de pointer ce qu’il ne peut plus faire. Même avec des troubles cognitifs avancés, une personne peut s’impliquer, faire des choix, créer du lien. L’enjeu n’est pas la performance, mais la participation.
Dans les maisons partagées, chacun est considéré comme une personne capable, digne, et utile au collectif. Et cela change tout : l’ambiance, la qualité de vie, le regard sur soi… et sur les autres.
Derrière ces habitats partagés, c’est une autre vision du grand âge qu’on veut promouvoir : la perte d’autonomie peut aussi rester du domaine du projet de vie, du lien, de la joie. Et ça va bien au-delà de juste fournir une prestation d’accompagnement de la perte d’autonomie.
Chez Alenvi, nous pensons qu’accompagner la vieillesse, c’est aussi soutenir l’autonomie sous toutes ses formes. Être acteur de sa vie, c’est une dignité fondamentale – que nous avons choisi de défendre, chaque jour, dans nos maisons partagées.
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