À mesure que la population vieillit, de nouvelles solutions d’hébergement émergent pour mieux répondre aux besoins des personnes âgées en perte d’autonomie. Parmi elles, l’habitat partagé séduit de plus en plus de familles et de professionnels. Moins médicalisé qu’un EHPAD et plus sécurisé qu’un logement classique, ce modèle d’habitat inclusif allie convivialité, accompagnement personnalisé et respect du rythme de chacun. Mais concrètement, en quoi consiste un habitat partagé pour personnes âgées ? 

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I. Le concept de l’habitat partagé / habitat inclusif

II. Une maison partagée adaptée aux personnes atteintes d’Alzheimer : l’exemple d’Alenvi

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I. Le concept de l’habitat partagé / habitat inclusif

L’habitat partagé, aussi appelé habitat inclusif, est une solution innovante qui répond aux besoins des personnes âgées en perte d’autonomie, tout en favorisant leur bien-être et leur maintien à domicile. À mi-chemin entre le domicile traditionnel et l’établissement médicalisé, l’habitat partagé repose sur le principe d'une petite structure de vie, où quelques colocataires vivent ensemble dans un cadre familial, sécurisé et convivial. Ce modèle permet de préserver le lien social, de lutter contre l’isolement et de garantir une qualité de vie plus humaine, centrée sur la personne. L’accompagnement est souvent assuré par des auxiliaires de vie et des coordinateurs de maison, mais toujours dans le respect des rythmes et des besoins de chacun.

II. Une maison partagée adaptée aux personnes atteintes d’Alzheimer : l’exemple d’Alenvi

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Pour les personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer, des troubles cognitifs ou neuro “évolutifs”, l’habitat partagé peut être une véritable alternative à l’EHPAD. Chez Alenvi, nous avons développé des habitats partagés spécifiquement conçus pour accompagner ces publics fragiles. Chaque lieu de vie accueille un petit groupe de colocataires (de 8 à 10 colocataires) et propose un accompagnement individualisé par des auxiliaires formés à la relation humaine et à l’accompagnement des personnes atteintes de pertes d’autonomie. Le cadre rassurant, les repères quotidiens, la vie en petit comité et la continuité des liens sociaux permettent aux colocataires de vivre dans la dignité, tout en soulageant les aidants familiaux.

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