La perte d’autonomie psychique est un phénomène qui touche principalement les personnes âgées, mais elle peut également concerner des personnes plus jeunes en raison de troubles cognitifs. Cette situation peut être source d’angoisse, tant pour la personne concernée que pour ses proches.

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I. Définition de la perte d’autonomie psychique

II. Comment faire face à une perte d’autonomie psychique ? 

III. Comment accompagner une personne âgée en perte d’autonomie ? 

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I. Définition de la perte d'autonomie psychique

La perte d'autonomie psychique se réfère à l'incapacité d'une personne à gérer de manière autonome ses fonctions mentales et émotionnelles, affectant sa capacité à prendre des décisions, à interagir socialement et à accomplir les tâches quotidiennes. Cette forme de dépendance peut résulter de troubles tels que la dépression, la schizophrénie ou encore la maladie d'Alzheimer.​

II. Comment faire face à une perte d'autonomie psychique ?

Faire face à une perte d'autonomie psychique nécessite une approche multidimensionnelle :​

• Évaluation professionnelle : Consulter un médecin pour une évaluation précise de la situation et déterminer les besoins spécifiques de la personne concernée.​
  
  
• Mise en place d'un accompagnement adapté : Selon le degré de perte d'autonomie, il peut être nécessaire de recourir à des services d'aide à domicile, à un suivi psychologique.​
  
  
• Soutien des proches : L'entourage joue un rôle majeur en offrant un soutien émotionnel et en aidant à la gestion des tâches quotidiennes.
  
  
• Aménagement de l'environnement : Adapter le domicile pour assurer la sécurité et le bien-être de la personne, en tenant compte de ses limitations.​
  
  

3. Comment accompagner une personne âgée en perte d'autonomie ?

Pour prévenir ou retarder la perte d'autonomie psychique, plusieurs mesures peuvent être adoptées :

• Maintien d'une vie sociale active : Encourager les interactions sociales pour prévenir l'isolement et stimuler les fonctions cognitives.​
  
  
• Activités physiques et intellectuelles régulières : Pratiquer des exercices adaptés et des activités intellectuelles pour entretenir les capacités mentales.​
  
  
• Suivi médical régulier : Consulter régulièrement des professionnels de santé pour détecter précocement d'éventuels troubles et les prendre en charge rapidement.​
  
  
• Alimentation équilibrée et mode de vie sain : Adopter une alimentation riche en nutriments essentiels et veiller à un sommeil de qualité.​

En mettant en place ces bonnes  pratiques, il est possible de préserver l'autonomie psychique des personnes âgées, et d'améliorer leur qualité de vie. Il existe des aides qui sont disponibles pour l’accompagnement de votre proche en perte d’autonomie : des aides matérielles, des aides financières, etc.  

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Si vous recherchez une solution pour votre proche qui souffre de la maladie d’Alzheimer, n’hésitez pas à nous écrire. Sachez que nos maisons partagées ont été pensées pour accompagner spécifiquement les troubles cognitifs tout en maintenant au maximum une vie sociale riche et sereine !