Le trouble de la mémoire, notamment des faits récents, est souvent le premier signe observable. Une personne atteinte d’Alzheimer peut oublier des rendez-vous, poser plusieurs fois la même question, ou ne plus se souvenir d’une conversation récente - tout en gardant intacts des souvenirs anciens.
Au-delà de la mémoire, la personne peut se retrouver en difficulté dans des activités qu’elle maîtrisait auparavant :
- Préparer un repas
- Suivre une recette
- Gérer ses comptes
- Utiliser des objets familiers.
Ces troubles peuvent alerter sur un début de maladie d’Alzheimer.
Les troubles du langage sont fréquents : chercher ses mots, utiliser des termes inadaptés ou perdre le fil d’une conversation.
La personne peut également :
- Se perdre dans un lieu pourtant familier
- Ne plus savoir quel jour on est
- Avoir du mal à suivre un raisonnement simple
Une altération du jugement peut aussi apparaître : dépenser de façon inhabituelle, acheter des quantités excessives de nourriture, ou se méfier de proches sans raison.
La maladie peut provoquer des modifications du comportement :
- Irritabilité, anxiété, agitation
- Perte d’intérêt pour des activités appréciées
- Changement de personnalité (jalousie, exubérance soudaine)
Ces signes peuvent être discrets au départ, mais ils méritent une attention particulière, surtout s’ils se répètent.
Le lien social et la stimulation cognitive jouent un rôle fondamental dans le ralentissement de la progression de la maladie. Une personne âgée vivant seule, sans interactions régulières, peut voir ses troubles s’aggraver plus rapidement. À l’inverse, maintenir des activités sociales et intellectuelles, même simples, aide à préserver les capacités restantes.
Face à plusieurs de ces symptômes, il est conseillé de consulter le médecin traitant, qui pourra proposer un bilan ou orienter vers un neurologue. Si la personne refuse, il est important de ne pas la brusquer. Identifier un proche de confiance, capable d’aborder la question avec douceur, peut être une solution efficace.
À retenir : les premiers signes de la maladie d’Alzheimer peuvent être subtils. La vigilance des proches, un environnement stimulant et un accompagnement bienveillant sont essentiels pour bien vivre cette étape.
Le trouble de la mémoire, notamment des faits récents, est souvent le premier signe observable. Une personne atteinte d’Alzheimer peut oublier des rendez-vous, poser plusieurs fois la même question, ou ne plus se souvenir d’une conversation récente - tout en gardant intacts des souvenirs anciens.
Au-delà de la mémoire, la personne peut se retrouver en difficulté dans des activités qu’elle maîtrisait auparavant :
- Préparer un repas
- Suivre une recette
- Gérer ses comptes
- Utiliser des objets familiers.
Ces troubles peuvent alerter sur un début de maladie d’Alzheimer.
Les troubles du langage sont fréquents : chercher ses mots, utiliser des termes inadaptés ou perdre le fil d’une conversation.
La personne peut également :
- Se perdre dans un lieu pourtant familier
- Ne plus savoir quel jour on est
- Avoir du mal à suivre un raisonnement simple
Une altération du jugement peut aussi apparaître : dépenser de façon inhabituelle, acheter des quantités excessives de nourriture, ou se méfier de proches sans raison.
La maladie peut provoquer des modifications du comportement :
- Irritabilité, anxiété, agitation
- Perte d’intérêt pour des activités appréciées
- Changement de personnalité (jalousie, exubérance soudaine)
Ces signes peuvent être discrets au départ, mais ils méritent une attention particulière, surtout s’ils se répètent.
Le lien social et la stimulation cognitive jouent un rôle fondamental dans le ralentissement de la progression de la maladie. Une personne âgée vivant seule, sans interactions régulières, peut voir ses troubles s’aggraver plus rapidement. À l’inverse, maintenir des activités sociales et intellectuelles, même simples, aide à préserver les capacités restantes.
Face à plusieurs de ces symptômes, il est conseillé de consulter le médecin traitant, qui pourra proposer un bilan ou orienter vers un neurologue. Si la personne refuse, il est important de ne pas la brusquer. Identifier un proche de confiance, capable d’aborder la question avec douceur, peut être une solution efficace.
À retenir : les premiers signes de la maladie d’Alzheimer peuvent être subtils. La vigilance des proches, un environnement stimulant et un accompagnement bienveillant sont essentiels pour bien vivre cette étape.
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