
Alenvi place le sentiment d’être chez soi au cœur de son approche. En effet, les Maisons Partagées sont avant tout pour les colocataires leur lieu de vie, ce qui implique de s’y sentir bien.
Vivre chez soi ne se limite pas à rester dans un lieu physique : c’est pouvoir conserver ses habitudes, ses choix et son rythme de vie, dans un environnement familier, entouré de repères et de relations de proximité.
Exemples concrets et bonnes pratiques
Dans les maisons partagées, toutes les pièces sont décorées dans l’esprit d’un foyer familial, avec une attention particulière portée au confort, au respect du rythme de chacun, et à la convivialité. Les repas sont pris en commun, et les visites des proches sont libres car les colocataires sont chez eux !
Chaque chambre est entièrement personnalisée : les colocataires ont leurs propres meubles et choisissent leur décoration (photos de famille, dessins d’enfants, tableaux…).
Les colocataires accueillent des visiteurs chez eux : leurs proches, les enfants de la crèche voisine, des curieux pour visiter la maison lors des journées portes-ouvertes…
Victor, colocataire de la Maison des Roses, témoigne : “Je me sens très bien dans cette maison. La gentillesse des gens, l’ordre, la façon dont c’est meublé : tout ça me plaît beaucoup. Je suis surtout un acharné de la lecture. Il y a plein de livres ici, j’ai de quoi lire pendant des milliers d’années !”
Concrètement, cela correspond à un accompagnement personnalisé et adapté à chaque personne. Les équipes d’auxiliaires de vie sont régulièrement formées pour accroître constamment la qualité de leur accompagnement, en l’adaptant à toutes les pathologies.
Il s’agit de permettre à chaque personne âgée de se sentir soutenue, écoutée et respectée, dans toutes les dimensions de sa vie — physique, émotionnelle et sociale.
Dans les Maisons Partagées, les colocataires sont entourés d’auxiliaires de vie 24h sur 24. Un coordinateur est également présent la semaine pour assurer le bon fonctionnement de la maison. Les colocataires participent chaque semaine à des activités et sorties, qui stimulent leur autonomie et rendent le quotidien plus agréable. Il y a également un suivi médical facilité par un lien étroit avec l’éco-système de santé local.
Les auxiliaires d’envie participent régulièrement à des formations : sur les troubles cognitifs, sur les gestes de premiers secours (PSC1)...
Cet engagement exprime la conviction qu’une personne âgée doit rester actrice de sa vie, même lorsqu’elle a besoin d’aide ou de soin.
Chez Alenvi, on affirme que soutenir l’autonomie, c’est agir avec les personnes et non à leur place.
Concrètement, il s’agit d’accompagner sans imposer, de soutenir sans priver, pour que chaque personne âgée puisse continuer à vivre une existence pleine de sens, de liberté et de respect.
Le fonctionnement des Maisons Partagées est basé sur cette idée : les colocataires sont constamment sollicités, s’ils le souhaitent, pour participer à la vie de la maison. Mettre la table, préparer le repas, sortir pour aller acheter le pain, ranger, passer un coup de balais, participer à la séance de gym douce… Toutes ces petites actions paraissent banales, mais sont un réel moyen de soutenir l’autonomie.
Cet engagement souligne l’importance du lien social et de la solidarité dans l’accompagnement des personnes âgées.
Il s’agit de favoriser la confiance mutuelle et l’entraide entre tous les acteurs : bénéficiaires, familles, auxiliaires de vie et équipes. “Compter sur et pour les autres” encourage la réciprocité, le respect et le partage, créant un environnement de confiance dans lequel chacun se sent utile et soutenu.
Dans les Maisons Partagées, la solidarité doit exister entre tous :

Ces quatre engagements sont au cœur de l’accompagnement Alenvi. Ils traduisent notre raison d’être : humaniser l’accompagnement des personnes âgées qui ont besoin d’aide ou de soin, en valorisant les professionnels et en réconciliant les enjeux humains et économiques du secteur.

Alenvi place le sentiment d’être chez soi au cœur de son approche. En effet, les Maisons Partagées sont avant tout pour les colocataires leur lieu de vie, ce qui implique de s’y sentir bien.
Vivre chez soi ne se limite pas à rester dans un lieu physique : c’est pouvoir conserver ses habitudes, ses choix et son rythme de vie, dans un environnement familier, entouré de repères et de relations de proximité.
Exemples concrets et bonnes pratiques
Dans les maisons partagées, toutes les pièces sont décorées dans l’esprit d’un foyer familial, avec une attention particulière portée au confort, au respect du rythme de chacun, et à la convivialité. Les repas sont pris en commun, et les visites des proches sont libres car les colocataires sont chez eux !
Chaque chambre est entièrement personnalisée : les colocataires ont leurs propres meubles et choisissent leur décoration (photos de famille, dessins d’enfants, tableaux…).
Les colocataires accueillent des visiteurs chez eux : leurs proches, les enfants de la crèche voisine, des curieux pour visiter la maison lors des journées portes-ouvertes…
Victor, colocataire de la Maison des Roses, témoigne : “Je me sens très bien dans cette maison. La gentillesse des gens, l’ordre, la façon dont c’est meublé : tout ça me plaît beaucoup. Je suis surtout un acharné de la lecture. Il y a plein de livres ici, j’ai de quoi lire pendant des milliers d’années !”
Concrètement, cela correspond à un accompagnement personnalisé et adapté à chaque personne. Les équipes d’auxiliaires de vie sont régulièrement formées pour accroître constamment la qualité de leur accompagnement, en l’adaptant à toutes les pathologies.
Il s’agit de permettre à chaque personne âgée de se sentir soutenue, écoutée et respectée, dans toutes les dimensions de sa vie — physique, émotionnelle et sociale.
Dans les Maisons Partagées, les colocataires sont entourés d’auxiliaires de vie 24h sur 24. Un coordinateur est également présent la semaine pour assurer le bon fonctionnement de la maison. Les colocataires participent chaque semaine à des activités et sorties, qui stimulent leur autonomie et rendent le quotidien plus agréable. Il y a également un suivi médical facilité par un lien étroit avec l’éco-système de santé local.
Les auxiliaires d’envie participent régulièrement à des formations : sur les troubles cognitifs, sur les gestes de premiers secours (PSC1)...
Cet engagement exprime la conviction qu’une personne âgée doit rester actrice de sa vie, même lorsqu’elle a besoin d’aide ou de soin.
Chez Alenvi, on affirme que soutenir l’autonomie, c’est agir avec les personnes et non à leur place.
Concrètement, il s’agit d’accompagner sans imposer, de soutenir sans priver, pour que chaque personne âgée puisse continuer à vivre une existence pleine de sens, de liberté et de respect.
Le fonctionnement des Maisons Partagées est basé sur cette idée : les colocataires sont constamment sollicités, s’ils le souhaitent, pour participer à la vie de la maison. Mettre la table, préparer le repas, sortir pour aller acheter le pain, ranger, passer un coup de balais, participer à la séance de gym douce… Toutes ces petites actions paraissent banales, mais sont un réel moyen de soutenir l’autonomie.
Cet engagement souligne l’importance du lien social et de la solidarité dans l’accompagnement des personnes âgées.
Il s’agit de favoriser la confiance mutuelle et l’entraide entre tous les acteurs : bénéficiaires, familles, auxiliaires de vie et équipes. “Compter sur et pour les autres” encourage la réciprocité, le respect et le partage, créant un environnement de confiance dans lequel chacun se sent utile et soutenu.
Dans les Maisons Partagées, la solidarité doit exister entre tous :

Ces quatre engagements sont au cœur de l’accompagnement Alenvi. Ils traduisent notre raison d’être : humaniser l’accompagnement des personnes âgées qui ont besoin d’aide ou de soin, en valorisant les professionnels et en réconciliant les enjeux humains et économiques du secteur.
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