Les colocations Alzheimer reposent sur une philosophie d’entraide et de mutualisation. On parle ici d’habitat partagé, où les colocataires vivent ensemble dans une maison adaptée, avec le soutien de professionnels… mais aussi et surtout, avec l’appui actif de leurs familles.
Dans nos colocations Alzheimer, les familles sont présentes chaque semaine, participent à la vie collective, accompagnent leur proche lors de rendez-vous médicaux, et sont forces de proposition dans les décisions du quotidien. Leur implication est multiforme :
Cette implication n’est pas ponctuelle, mais bien structurelle : elle conditionne la réussite de la colocation.
L'implication des familles doit être encadrée par des dispositifs de soutien et de formation, ou de relais. C’est notamment le rôle du coordinateur de maison.
Les familles sont aussi les principales référentes du parcours de soin. Elles transmettent l’historique médical, les préférences, les habitudes de vie… autant d’informations utiles pour le coordinateur ou la coordinatrice de maison. Cette transmission d’informations, fluide et régulière, garantit une prise en charge cohérente, individualisée et respectueuse de la personne.
Ainsi, les colocations Alzheimer offrent une alternative profondément humaine au vieillissement et à la perte d’autonomie. Mais leur réussite repose sur un triptyque fragile : les colocataires, les professionnels… et les familles. Ces dernières méritent d’être mieux considérées, mieux accompagnées, et pleinement intégrées à la réflexion sur l’évolution de l’habitat partagé.
Les colocations Alzheimer reposent sur une philosophie d’entraide et de mutualisation. On parle ici d’habitat partagé, où les colocataires vivent ensemble dans une maison adaptée, avec le soutien de professionnels… mais aussi et surtout, avec l’appui actif de leurs familles.
Dans nos colocations Alzheimer, les familles sont présentes chaque semaine, participent à la vie collective, accompagnent leur proche lors de rendez-vous médicaux, et sont forces de proposition dans les décisions du quotidien. Leur implication est multiforme :
Cette implication n’est pas ponctuelle, mais bien structurelle : elle conditionne la réussite de la colocation.
L'implication des familles doit être encadrée par des dispositifs de soutien et de formation, ou de relais. C’est notamment le rôle du coordinateur de maison.
Les familles sont aussi les principales référentes du parcours de soin. Elles transmettent l’historique médical, les préférences, les habitudes de vie… autant d’informations utiles pour le coordinateur ou la coordinatrice de maison. Cette transmission d’informations, fluide et régulière, garantit une prise en charge cohérente, individualisée et respectueuse de la personne.
Ainsi, les colocations Alzheimer offrent une alternative profondément humaine au vieillissement et à la perte d’autonomie. Mais leur réussite repose sur un triptyque fragile : les colocataires, les professionnels… et les familles. Ces dernières méritent d’être mieux considérées, mieux accompagnées, et pleinement intégrées à la réflexion sur l’évolution de l’habitat partagé.
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