Revenir en arrière Les 10 idées reçues sur la colocation Alzheimer (et ce qu’il faut vraiment savoir)
Colocations Alzheimer

Les 10 idées reçues sur la colocation Alzheimer (et ce qu’il faut vraiment savoir)

La colocation pour personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer suscite encore beaucoup de questions et d’incertitudes. Certaines idées reçues freinent l’accès à ce type d’habitat innovant, qui favorise le maintien de l’autonomie, le lien social et le bien-être des résidents. Découvrez les 10 mythes les plus courants et la réalité derrière chacun d’eux.

I. Les personnes atteintes d’Alzheimer, à cause de leur dégénérescence cognitive, ne peuvent pas vivre en communauté

Faux. Avec un accompagnement adapté, la colocation favorise la socialisation et le maintien des liens, ce qui est bénéfique pour le bien-être et la stimulation des capacités cognitives. 

II. La colocation entraîne plus de conflits entre résidents

Faux. Grâce à des espaces privés et collectifs, et à un encadrement professionnel, les relations sont gérées de manière à prévenir les tensions. L’équipe d’auxiliaires de vie et le coordinateur de la maison veillent à la bonne entente entre tous

Mais au fond, que ce soit pour une colocation “ordinaire” ou même au sein d’une famille, des petites tensions apparaissent toujours : le tout, c’est d’apprendre à les régler avec calme et respect ! Et les auxiliaires d’envie sont formées pour apprendre à réagir dans ces situations.

III. C’est comme un hôpital : un accompagnement et un lieu de vie impersonnels 

Faux. Les Maisons Partagées Alenvi cherchent à recréer le sentiment de vivre chez soi pour les colocataires : les auxiliaires créent du lien avec chacun, et la maison est décorée dans un esprit familial. Chaque colocataire décore et aménage sa chambre avec ses propres meubles, ce qui crée un cadre de vie familier et rassurant. Par ailleurs, les équipes qui interviennent dans les maisons sont composées de 8 à 10 auxiliaires d’envie : les colocataires sont donc habitués à leurs visages et leur présence. 

IV. Les colocations manquent d’un suivi médical rigoureux

Faux. Même si ce ne sont pas des maisons médicalisées, une continuité des soins est facilitée par des liens étroits avec l’écosystème médical et paramédical : cabinets infirmiers, pharmacies, orthophonistes, médecins… 

V. Les Maisons Partagées Alzheimer sont réservées aux cas avancés

Faux. Les colocations peuvent accueillir des personnes à différents stades de la maladie, avec un accompagnement ajusté à chacun. Au contraire, l’un de nos engagements consiste à pouvoir compter sur les autres et pour les autres : une véritable cohésion règne dans la maison. 

VI. Les colocataires sont passifs

Faux. La colocation encourage la participation aux tâches quotidiennes et aux activités collectives, renforçant autonomie et confiance en soi. Chez Alenvi, on affirme que soutenir l’autonomie, c’est agir avec les personnes, et non à leur place. Préparer le repas, mettre la table, sortir acheter le pain, plier le linge, faire un jeu… tout est fait pour impliquer au maximum les colocataires dans la vie quotidienne de la maison. 

VII. La sécurité est insuffisante

Faux. Les maisons partagées sont totalement sécurisées, avec des dispositifs adaptés (ascenseurs, salles de bain aux normes PMR…) et une surveillance discrète, permettant aux résidents de se déplacer librement et en toute sécurité. 

VIII. Le prix des Maisons Partagées Alzheimer : trop cher comparé à l’accompagnement à domicile

Faux. La mutualisation des ressources rend la colocation économiquement avantageuse, tout en offrant un accompagnement de qualité et un cadre social enrichissant. Une équipe d’auxiliaires est présente jour et nuit, tous les jours. Faire venir une auxiliaire de vie à domicile 24h sur 24 reviendrait beaucoup plus cher. 

Notre tarif social s’adapte en fonction de la prise en charge départementale, qui dépend elle-même de vos revenus. Par exemple, si votre proche bénéficie de 100 % des aides départementales (APA), aucun reste à charge ne sera appliqué pour nos services d’aide à domicile. Notre offre est conçue pour être accessible à tous les revenus.

IX. Les familles ne sont plus impliquées dans le quotidien de leurs proches

Faux. Les familles restent parties prenantes, informées et impliquées dans les activités, soins et décisions concernant leur proche. La gouvernance partagée est l’un des piliers du fonctionnement des maisons partagées : lors des conseils de famille, organisés tous les trimestres dans les maisons, chacun peut s’exprimer et participer à la prise de décision. 

X. Les colocataires restent toute la journée dans leur chambre respective et ne partagent aucun moment

Faux. Le quotidien est organisé selon le rythme et les envies de chacun : tous les jours, des petites animations sont mises en place (cours de gym adaptée, musique et danse, cuisine, sorties dans le quartier…). Tous les repas sont pris en commun, dans une ambiance conviviale et familiale ! 

Derrière ces idées reçues se cache un modèle innovant qui humanise l’accompagnement des personnes âgées et favorise leur épanouissement quotidien. La colocation Alzheimer n’est pas une simple alternative au maintien à domicile ou à la maison de retraite. Elle repose sur le lien social, l’autonomie et le respect des besoins individuels, tout en offrant un cadre sécurisé et humain.

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Les 10 idées reçues sur la colocation Alzheimer (et ce qu’il faut vraiment savoir)

28/11/25

La colocation pour personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer suscite encore beaucoup de questions et d’incertitudes. Certaines idées reçues freinent l’accès à ce type d’habitat innovant, qui favorise le maintien de l’autonomie, le lien social et le bien-être des résidents. Découvrez les 10 mythes les plus courants et la réalité derrière chacun d’eux.

I. Les personnes atteintes d’Alzheimer, à cause de leur dégénérescence cognitive, ne peuvent pas vivre en communauté

Faux. Avec un accompagnement adapté, la colocation favorise la socialisation et le maintien des liens, ce qui est bénéfique pour le bien-être et la stimulation des capacités cognitives. 

II. La colocation entraîne plus de conflits entre résidents

Faux. Grâce à des espaces privés et collectifs, et à un encadrement professionnel, les relations sont gérées de manière à prévenir les tensions. L’équipe d’auxiliaires de vie et le coordinateur de la maison veillent à la bonne entente entre tous

Mais au fond, que ce soit pour une colocation “ordinaire” ou même au sein d’une famille, des petites tensions apparaissent toujours : le tout, c’est d’apprendre à les régler avec calme et respect ! Et les auxiliaires d’envie sont formées pour apprendre à réagir dans ces situations.

III. C’est comme un hôpital : un accompagnement et un lieu de vie impersonnels 

Faux. Les Maisons Partagées Alenvi cherchent à recréer le sentiment de vivre chez soi pour les colocataires : les auxiliaires créent du lien avec chacun, et la maison est décorée dans un esprit familial. Chaque colocataire décore et aménage sa chambre avec ses propres meubles, ce qui crée un cadre de vie familier et rassurant. Par ailleurs, les équipes qui interviennent dans les maisons sont composées de 8 à 10 auxiliaires d’envie : les colocataires sont donc habitués à leurs visages et leur présence. 

IV. Les colocations manquent d’un suivi médical rigoureux

Faux. Même si ce ne sont pas des maisons médicalisées, une continuité des soins est facilitée par des liens étroits avec l’écosystème médical et paramédical : cabinets infirmiers, pharmacies, orthophonistes, médecins… 

V. Les Maisons Partagées Alzheimer sont réservées aux cas avancés

Faux. Les colocations peuvent accueillir des personnes à différents stades de la maladie, avec un accompagnement ajusté à chacun. Au contraire, l’un de nos engagements consiste à pouvoir compter sur les autres et pour les autres : une véritable cohésion règne dans la maison. 

VI. Les colocataires sont passifs

Faux. La colocation encourage la participation aux tâches quotidiennes et aux activités collectives, renforçant autonomie et confiance en soi. Chez Alenvi, on affirme que soutenir l’autonomie, c’est agir avec les personnes, et non à leur place. Préparer le repas, mettre la table, sortir acheter le pain, plier le linge, faire un jeu… tout est fait pour impliquer au maximum les colocataires dans la vie quotidienne de la maison. 

VII. La sécurité est insuffisante

Faux. Les maisons partagées sont totalement sécurisées, avec des dispositifs adaptés (ascenseurs, salles de bain aux normes PMR…) et une surveillance discrète, permettant aux résidents de se déplacer librement et en toute sécurité. 

VIII. Le prix des Maisons Partagées Alzheimer : trop cher comparé à l’accompagnement à domicile

Faux. La mutualisation des ressources rend la colocation économiquement avantageuse, tout en offrant un accompagnement de qualité et un cadre social enrichissant. Une équipe d’auxiliaires est présente jour et nuit, tous les jours. Faire venir une auxiliaire de vie à domicile 24h sur 24 reviendrait beaucoup plus cher. 

Notre tarif social s’adapte en fonction de la prise en charge départementale, qui dépend elle-même de vos revenus. Par exemple, si votre proche bénéficie de 100 % des aides départementales (APA), aucun reste à charge ne sera appliqué pour nos services d’aide à domicile. Notre offre est conçue pour être accessible à tous les revenus.

IX. Les familles ne sont plus impliquées dans le quotidien de leurs proches

Faux. Les familles restent parties prenantes, informées et impliquées dans les activités, soins et décisions concernant leur proche. La gouvernance partagée est l’un des piliers du fonctionnement des maisons partagées : lors des conseils de famille, organisés tous les trimestres dans les maisons, chacun peut s’exprimer et participer à la prise de décision. 

X. Les colocataires restent toute la journée dans leur chambre respective et ne partagent aucun moment

Faux. Le quotidien est organisé selon le rythme et les envies de chacun : tous les jours, des petites animations sont mises en place (cours de gym adaptée, musique et danse, cuisine, sorties dans le quartier…). Tous les repas sont pris en commun, dans une ambiance conviviale et familiale ! 

Derrière ces idées reçues se cache un modèle innovant qui humanise l’accompagnement des personnes âgées et favorise leur épanouissement quotidien. La colocation Alzheimer n’est pas une simple alternative au maintien à domicile ou à la maison de retraite. Elle repose sur le lien social, l’autonomie et le respect des besoins individuels, tout en offrant un cadre sécurisé et humain.

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