Revenir en arrièreVivre en habitat partagé : quel profil pour intégrer une colocation Alzheimer ?
Colocations Alzheimer

Vivre en habitat partagé : quel profil pour intégrer une colocation Alzheimer ?

Intégrer un habitat partagé, c’est choisir un mode de vie collectif imprégné d’une atmosphère de partage, de bienveillance et de convivialité. Il s’agit d’une alternative à l’EHPAD pour les personnes pour lesquelles rester à domicile n'est pas la solution la plus adaptée. L’objectif principal de la vie en habitat partagé ? Que l’accompagnement soit le plus adapté et humain possible et que les colocataires se sentent « comme à la maison ».

Mais comment savoir si mon proche a sa place dans un habitat partagé ?

I. Le profil adapté à l’habitat partagé Alzheimer

II. Ce dont nous avons besoin pour évaluer la pertinence du profil

III. Des points d’attention au cas par cas

I. Le profil adapté à l’habitat partagé Alzheimer

Notre ambition est d’améliorer le bien-vieillir. C’est pourquoi nous sélectionnons avec attention les profils qui conviendraient à la vie en colocation Alzheimer, afin de répondre aux besoins des personnes âgées de manière adaptée. Voici le profil type des colocataires des maisons partagées :

- Des troubles cognitifs diagnostiqués (Alzheimer ou apparentés). Nous accueillons des personnes allant de Gir 2 à Gir 4 (plus d’informations ici)

- Des troubles dans le temps et l’espace

- Une autonomie fonctionnelle conservée

- Une capacité minimale à s’intégrer à la vie sociale de la maison

- Un accompagnement d’un aidant familial engagé

- Un MMS (Mini-Mental State) autour de 15/30

Les colocations sont de vrais lieux de vie, souvent dans des maisons ou appartements aménagés. Chaque colocataire dispose de sa chambre, et les espaces communs favorisent la vie collective et le partage. Les maisons accueillent chacune entre 8 et 10 colocataires, et ne sont pas médicalisées mais sont en lien étroit avec la médecine de ville. 

Les colocataires sont accompagnés 7 jours sur 7 et 24h sur 24 par une équipe d’auxiliaires de vie, présente à la fois pour assurer leur sécurité mais également pour faire vivre la maison. En effet, le ménage, les courses et la préparation des repas sont assurés par l’équipe, main dans la main avec les colocataires. De cette manière, l’autonomie et le lien social sont maintenus et mis à l’honneur.

Accompagner avec respect, patience et humanité : voici l’état d’esprit des auxiliaires de vie d’Alenvi. Découvrez leurs témoignages : 

II. Ce dont nous avons besoin pour évaluer la pertinence du profil

Si la vie en maisons partagées semble correspondre à votre profil ou celui de votre proche, différents documents vous seront demandés pour nous permettre d’en vérifier la compatibilité, à savoir :

- Un compte-rendu des suivis gériatriques

- Un compte-rendu d’accueil de jour, orthophoniste ou tout autre professionnel accompagnant la personne

-  Les ordonnances et traitements médicaux

 

Pour accueillir votre proche, nous passons par trois étapes clés :

1. Envoi du dossier médical avec les documents mentionnés ci-dessus et étude des habitudes de vie de la personne âgée

2. Rencontre avec le colocataire

3. Visite de la maison

 

III. Des points d’attention au cas par cas

Afin de garantir le bon fonctionnement social et collectif des colocations, nous étudions les situations au cas par cas. À noter que les personnes atteintes de la maladie de Parkinson à un stade avancé, de démence à corps de Lewy ou encore de troubles du comportement sévères ou psychiatriques nécessitent souvent une structure plus médicalisée. 

Pour en savoir plus sur la maladie à corps de Lewy, le témoignage de Philippe de Linares permet de comprendre en profondeur les symptômes ainsi que le rôle des aidants dans l’accompagnement de cette maladie.

 

Choisir l’habitat partagé, c’est offrir à son proche un lieu de vie où humanité et autonomie se conjuguent chaque jour.

Retour au blog
Nous contacter

Vivre en habitat partagé : quel profil pour intégrer une colocation Alzheimer ?

3/10/25

Intégrer un habitat partagé, c’est choisir un mode de vie collectif imprégné d’une atmosphère de partage, de bienveillance et de convivialité. Il s’agit d’une alternative à l’EHPAD pour les personnes pour lesquelles rester à domicile n'est pas la solution la plus adaptée. L’objectif principal de la vie en habitat partagé ? Que l’accompagnement soit le plus adapté et humain possible et que les colocataires se sentent « comme à la maison ».

Mais comment savoir si mon proche a sa place dans un habitat partagé ?

I. Le profil adapté à l’habitat partagé Alzheimer

II. Ce dont nous avons besoin pour évaluer la pertinence du profil

III. Des points d’attention au cas par cas

I. Le profil adapté à l’habitat partagé Alzheimer

Notre ambition est d’améliorer le bien-vieillir. C’est pourquoi nous sélectionnons avec attention les profils qui conviendraient à la vie en colocation Alzheimer, afin de répondre aux besoins des personnes âgées de manière adaptée. Voici le profil type des colocataires des maisons partagées :

- Des troubles cognitifs diagnostiqués (Alzheimer ou apparentés). Nous accueillons des personnes allant de Gir 2 à Gir 4 (plus d’informations ici)

- Des troubles dans le temps et l’espace

- Une autonomie fonctionnelle conservée

- Une capacité minimale à s’intégrer à la vie sociale de la maison

- Un accompagnement d’un aidant familial engagé

- Un MMS (Mini-Mental State) autour de 15/30

Les colocations sont de vrais lieux de vie, souvent dans des maisons ou appartements aménagés. Chaque colocataire dispose de sa chambre, et les espaces communs favorisent la vie collective et le partage. Les maisons accueillent chacune entre 8 et 10 colocataires, et ne sont pas médicalisées mais sont en lien étroit avec la médecine de ville. 

Les colocataires sont accompagnés 7 jours sur 7 et 24h sur 24 par une équipe d’auxiliaires de vie, présente à la fois pour assurer leur sécurité mais également pour faire vivre la maison. En effet, le ménage, les courses et la préparation des repas sont assurés par l’équipe, main dans la main avec les colocataires. De cette manière, l’autonomie et le lien social sont maintenus et mis à l’honneur.

Accompagner avec respect, patience et humanité : voici l’état d’esprit des auxiliaires de vie d’Alenvi. Découvrez leurs témoignages : 

II. Ce dont nous avons besoin pour évaluer la pertinence du profil

Si la vie en maisons partagées semble correspondre à votre profil ou celui de votre proche, différents documents vous seront demandés pour nous permettre d’en vérifier la compatibilité, à savoir :

- Un compte-rendu des suivis gériatriques

- Un compte-rendu d’accueil de jour, orthophoniste ou tout autre professionnel accompagnant la personne

-  Les ordonnances et traitements médicaux

 

Pour accueillir votre proche, nous passons par trois étapes clés :

1. Envoi du dossier médical avec les documents mentionnés ci-dessus et étude des habitudes de vie de la personne âgée

2. Rencontre avec le colocataire

3. Visite de la maison

 

III. Des points d’attention au cas par cas

Afin de garantir le bon fonctionnement social et collectif des colocations, nous étudions les situations au cas par cas. À noter que les personnes atteintes de la maladie de Parkinson à un stade avancé, de démence à corps de Lewy ou encore de troubles du comportement sévères ou psychiatriques nécessitent souvent une structure plus médicalisée. 

Pour en savoir plus sur la maladie à corps de Lewy, le témoignage de Philippe de Linares permet de comprendre en profondeur les symptômes ainsi que le rôle des aidants dans l’accompagnement de cette maladie.

 

Choisir l’habitat partagé, c’est offrir à son proche un lieu de vie où humanité et autonomie se conjuguent chaque jour.

Vous cherchez une aide à domicile ou une solution d’hébergement pour votre proche en perte d’autonomie ? Vous cherchez une aide ponctuelle post hospitalisation ?

Contactez-nous